Quand une personne proche de vous perd un être cher, votre soutien est plus que jamais utile pour l’aider à passer ces moments désagréables dans de meilleures conditions. Grâce à votre soutien, il pourra gérer la tristesse causée par ce décès. Mais comment faut-il s’y prendre. Découvrez la réponse dans la suite de cet article.

Offrez-lui votre soutien

Que ce soit votre conjoint, un ami ou un collègue qui a perdu un proche, soyez présent à ses côtés. Pour l’aider à combler le vide laissé par le défunt, passez du temps avec cette personne. Vous devez lui prêter une attention particulière pour le consoler. Ce faisant, cette personne éplorée se sentira soutenue. Vous pouvez lui demander en quoi vous pouvez lui être utile.

Même quand vous sentez que votre présence ne sert pas à grand-chose, il est toujours préférable d’être présent. En réalité, à cet instant précis, elle ne sait pas vraiment ce qu’elle veut, mais votre simple présence la rassure. Ce n’est pas forcément utile d’offrir à la personne éplorée de la nourriture, lui accomplir les tâches ménagères ou autres.

Parfois ce dont elle a le plus besoin est d’avoir des épaules sur lesquelles pleurer, une personne avec qui partager son chagrin, une personne qui l’aide à soulager sa douleur. Vous voulez en savoir davantage sur comment aider une personne dans le deuil ?

Prenez-lui un rendez-vous chez un psychologue

Parfois, il arrive que tous vos efforts pour réduire le chagrin de la personne éprouvée soit vains. Dans ce cas, ne soyez pas découragé. Organisez-lui simplement une rencontre avec un psychologue. Ce dernier pourra avec ses compétences, régler la situation. En lui faisant faire des thérapies, la personne éplorée pourra retrouver goût à la vie et se libérer de ses chagrins.

Le psychologue aura la patience nécessaire pour l’écouter et l’aider à trouver une solution à son désespoir, son anxiété, sa dépression, sa colère, son impuissance ou encore sa confusion. Il saura la convaincre que ce sont des réactions normales suites à cet événement douloureux.

Faites preuve de tolérance

Vous devez faire preuve de beaucoup de patience avec une personne éplorée, car elle aura tendance à évacuer sa colère à chaque fois qu’elle en aura l’occasion.

Vous ne devez surtout pas vous emporter suite à ces excès de colère. Bien au contraire, vous devez la réconforter, et lui répéter que tout ira mieux. En lui donnant de l’espoir et en faisant preuve de compassion, la personne éplorée aura le courage qu’il faut pour surmonter cette épreuve aussi affligeante qu’elle soit.

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Nouveaux moyens d’accompagnement et ressources complémentaires

Au-delà des gestes immédiats, il existe des approches complémentaires qui aident à favoriser l’élaboration du deuil et la reconstruction progressive. Proposez, si la personne le souhaite, des rituels de commémoration (création d’un carnet de souvenirs, cérémonies intimes, gestes symboliques) ou l’utilisation d’outils créatifs comme l’écriture et la photographie pour conserver une mémoire apaisée. Encouragez la participation à groupes de parole — ces espaces collectifs permettent le partage d’expériences, la normalisation des émotions et l’échange de stratégies d’adaptation. Informer la personne sur la différence entre une douleur passagère et un processus plus difficile à vivre (signes d’un deuil compliqué) relève de la psychoéducation : comprendre les symptômes aide à repérer quand un soutien ciblé ou une prise en charge spécifique devient nécessaire.

Complétez l’accompagnement par des techniques concrètes : journal intime, exercices de respiration, activité physique douce, routines quotidiennes pour maintenir des repères et des moments de répit. Ces pratiques renforcent la résilience et réduisent le risque d’isolement. En tant qu’entourage, il est aussi utile d’élaborer un petit plan d’action (contacts utiles, possibilités de relais, ressources locales) et de respecter des limites pour préserver votre propre équilibre. Pour obtenir des fiches pratiques, des repères sur les signes d’alerte et des points de contact, consultez un guide spécialisé comme le site d’information Votre Psy, qui propose des ressources complémentaires et des pistes pour orienter la personne vers des dispositifs adaptés.